Après avoir été trahie et décimée par une organisation terroriste, l'équipe des GI Joe réalise que le gouvernement a été infiltré et que notre monde est au bord de la destruction. Sans alliés, sans renforts et sans personne à qui se fier, Roadblock et ses GI doivent identifier l'ennemi pour tenter de sauver notre civilisation. Ils font alors appel à celui qui a donné son nom à leur corps d'élite : Joe Colton...
Parti en expédition dans la forêt amazonienne à la recherche d'un artefact, Travis (Sean William Scott) ne donne plus signe de vie. Son père, un chef de la pègre, envoie un homme de confiance, Beck (The Rock), à sa recherche. Malgré leur antipathie réciproque et le fait qu'ils aiment la même femme, les deux hommes devront collaborer pour faire face au dirigeant crapuleux d'une compagnie minière (Christopher Walken) qui veut aussi mettre la main sur l'artefact.
Suite - non officielle - de La Momie (le roi Scorpion étant un personnage secondaire dans le deuxième épisode de la série), Le Roi Scorpion offre à son tour au spectateur aventure, action et humour à foison. 5000 ans avant notre ère, un tyran maléfique veut éliminer les nomades du désert. Ceux-ci envoient Mathayus pour qu'il assassine le sorcier qui inspire les mauvaises actions de leur adversaire. Or, celui-ci est en fait une ravissante jeune femme que Mathayus refuse de tuer. Il s'enfuit avec elle, déchaînant la colère du tyran. Le Roi Scorpion met pour la première fois au premier plan le champion de catch The Rock, énorme star aux États-Unis. Il faut dire que cet athlète de haut niveau en impose par sa carrure mais également par ses talents d'acteur, se plaçant en digne héritier d'Arnold Schwarzenegger, version Conan le barbare. Les scènes de combats et d'assauts s'enchaînent à un rythme effréné grâce au talent de réalisateur de Chuck Russell, aussi à l'aise dans la comédie (The Mask) que dans le thriller (L'Effaceur). Un grand film d'héroïc fantasy.